IMPRESSION CHINOISE

Parce que les plus belles histoires commençent où l’on se s’y attend pas, celle-ci a débuté après que nous ayons déposé tous nos bagages.
Ceux remplis de l’imagerie bancale colportée par tout pays lointain. La Chine…
Pensez un peu ! Ou plutot non, ne pensez pas… Puisque c’est ici que s’ouvre le domaine de la découverte.
Lorsque l’esprit, enfin en état de veille, laisse le cœur écouter et voir.
Oubliés les cours d’histoire. Reniées, les idées recues. Balayés, les clichés naïf…
Venez à elle comme un enfant qui sort du sommeil : pour lui, chaque jour est un nouveau jour, fait pour l’émerveillement…

Ouvrage relié
Format 24×30 cm
Textes : Yves Moreau
Edition 1992
Co-auteur avec Frédéric Huijbregts

VIETNAM, L’INVITATION

Vois dans ce qui va suivre ce que tu veux y voir.
Laisse aller ta respiration au rythme du vent léger.
Détends-toi ! Le rideau estencore baissé.
Ce bruit que tu entends là-bas dans le noir,
C’est celui des battements de ton cœur,
Viens, n’aie pas peur.

Attention, tes émotions seront fortes !
Dans cette pièce tout est anachronique,
Rien ne sera respecté des choses de la logique.
Viens, je t’emporte.

Le beau que tu verras n’est pas là où tu crois,
Il sera dans ta tête là où tu le chercheras
L’insolite sera dans le commun,

Le commun dans l’insolite.
Ce bruit que tu entends…
C’est le rideau qui se lève.
Viens…

Ouvrage relié
Format 24×30 cm
Textes : Yves Moreau
Edition 1994
Co-auteur avec Frédéric Huijbregts

INDONÉSIE, LE DRAGON DANS LA MER

Comme toutes les légendes… Comme toutes les histoires…
Celle-ci commence par “il était une fois, il y a bien longtemps”
Un peuple au sud des nuages vint là. À cette époque les eaux peu profondes lui permirent, depuis la Malaise, de franchir les mers à pied.
Ces aventuriers d’un autre temps, virent, en ces lieux, un Dragon.
Ses multiples gueules crachaient le feu de la terre.
Lorsqu’il bougeait pour se défendre, le sol tremblait, grondait et se fissurait. Rien ne poussait.
Ils pensèrent que le dragon était en colère. Les apparences sont parfois trompeuses.
Il s’agissait en réalité des forces du bien qui se manifestaient sous leurs yeux. alors ils se mirent à le supplier afin qu’il se calme.
Le Dragon dans son infinie générosité exauça leurs prières. Il leur donna une terre fertile.
Si fertile que le riz poussa sans se soucier du rythme des saisons.
Chaque avantage a son inconvénient. Le dragon avait déréglé la pendule. À chaque mouvement de balancier un grain germait.
Plus de sieste, plus de repos, nuit et jour, le riz envahissait la terre. Le manque était comblé par le plein.

Plus tard, le Dragon eut de nombreux fils, les varans. Il les mit à l’abri dans l’île de Komodo.
Estimant qu’il n’avait plus rien à faire, il s’allongea dans la mer et s’assoupit.
Mais prenez garde ! Il se réveille encore souvent…

Ce Dragon-là a surgi de nos rêves.
Depuis le ciel, regardez bien, vous le verrez, il émerge de l’eau…

Ouvrage relié
Format 24×30 cm
Textes : Yves Moreau
Edition 1996
Co-auteur avec Frédéric Huijbregts

MÉLANÉSIE, PORTRAITS DE LA TERRE ET DES HOMMES

La Mélanésie, lointaine et mal connue. Presque au bord du monde, dans une région où nos connaissances s’essoufflent et tâtonnent.
Groupes d’îles situées dans le Pacifique occidental, au Sud de l’équateur : Papouasie Nouvelle Guinée, archipel de Bismarck, îles Salomon,
archipel du Vanuatu, îles Fidji, Nouvelle Calédonie.
Immensité d’îles…îlots par milliers… Profusion difficile a concevoir pour nous Européens, qui les chérissons à l’unité…

Étymologiquement, la Mélanésie annonce la couleur (du grec melas et nesos) îles habitées par les Noirs. Nommées par l’évidence, référencée par la différence.
En tant qu’unité géographique, la Mélanésie est une création récente, définie au XIXe siècle d’après une vision tout occidentale du partage
de l’Océanie en cinq parties distinctes. là où n’existe pas de réelle frontière géographique et culturelle, son contour est moins précis, plus arbitraire,
et souligne la naïveté du tracé géopolitique qui prétend découper au carré des paysages ignorant par nature la ligne droite…

Portfolio
Format 32×42 cm
Edition 1998
Co-auteur avec Frédéric Huijbregts

TERRA AUSTRALIS, LE TEMPS DU RÊVE

Ce peuple qui “appartient à la terre plus qu’elle ne lui appartient” dit aussi “nous avons toujours été là”.
Le lien qui l’unit aux vastes terres rouges est vital.
Depuis plus de 40 000 ans, les Aborigènes tissent sur le continent australien le réseau arachnéen des itinéraires chantés
reliant entre eux les sites sacrés de leur mythologie de la Création. Leur unique référence chronologique et le Dream Time, le Temps du Rêve.
D’une tribu à l’autre, la cosmogonie reste identique, même si les noms et la nature de ces ancêtres mythiques peuvent varier.
Ce sont les récits de la Création que les Aborigènes se transmettent encore aujourd’hui par le biais du chant, de la danse, de la peinture, ravivant sans cesse leur passé ancestral.
Tout enfant qui naît devient le gardien d’une partie du rêve. Le terme désigne à la fois le temps des origines et, pour chaque individu et chaque tribu, un “totem” propre.
Chaque initié est ainsi responsable d’une partie sans laquelle le tout ne peut exister. L’erreur, l’oubli seraient fatals à la communauté tout entière.
Le Temps du Rêve aborigène aurait sans doute séduit Platon qui regrettait l’invention de l’écriture car, disait-il, son usage “développera l’oubli dans les âmes
de ceux qui l’auront acquise, par négligence de la mémoire”. La mémoire de cette Terre qui est pour eux le livre, les Aborigènes ont su la préserver.

Portfolio
Format 32×42 cm
Textes : Mahaud Delarive
Edition 1999
Co-auteur avec Frédéric Huijbregts

MADAGASCAR, CONTRASTE ET LUMIÈRE

Île des origines. Île rouge. Sanctuaire de la nature. Continent mosaïque.
Madagascar n’a pas de nom absolu.
On l’appelle encore la Grande Île, Île parfumée, Terre des ancêtres ou encore la Terre mystérieuse.
Madagascar change de nom selon les pas du voyageur dont le terme n’est jamais fixé.

Parcourir des kilomètres, traverser le pays par les pistes, s’enfoncer dans une jungle moite, croiser des troupeaux de zébus nonchalants,
saluer des paysans hiératiques, des pêcheurs sur leur pirogue, des femmes partant au marché vendre la vanille ou d’espiègles enfants
abrités sous les typiques petits chapeaux de paille.
Attendre que le moteur d’une voiture soit enfin réparé avec ingéniosité et une rare patience.
Ou espérer un train qui ne viendra jamais. Mora mora, dit-on, ce qui signifie “doucement, doucement” en malgache.
Phrase mille fois entendue, fatalisme languissant et philosophie de tous les jours.

Madagascar se dévoile mora, mora.

Portfolio
Format 32×42 cm
Textes : Laurent Boudier
Edition 2000
Co-auteur avec Frédéric Huijbregts

AFRIQUE AUSTRALE, GRANDEUR NATURE

Sur cette pointe australe de l’Afrique qui va des forêts chaudes du Zimbabwe jusqu’au collines plantées de vignobles du Cap,
prise entre les froidures du pôle Sud et les touffeurs de l’Afrique équatoriale, nous avons choisi un itinéraire où nous serions
à même de saisir le sous continent « grandeur nature », dans l’appréciation de ses dimensions naturelles immenses comme
de ses défis humains pour l’avenir, qui ne le sont pas moins. De notre passage en Namibie, au Botwana et en Afrique du sud,
nous sommes revenu convaincus que se joue là-bas une bonne part des enjeux du futur, qu’il s’agisse de la préservation du patrimoine
naturel comme de l’impératif incontournable de vivre les uns avec les autres.

Portfolio
Format 32×32 cm
Textes : Yves Coppens, Sébastien Moncorps et Paul Garapon.
Edition 2001
Co-auteur avec Frédéric Huijbregts

GUIDES DES CHATEAUX

L’appellation « château », très souvent exploitée et utilisée pour qualifier des demeures de tout type et de toutes les époques, reste extrêmement floue en France.
Dans le pays aux 28 000 châteaux, il est difficile de cerner ce qui est un « vrai » château de ce qui n’en est pas ou n’en a jamais été un.

Nos voisins italiens ont clairement scindé cette appellation : le château (du latin castellum, fortin ; castrum, camp) est un édifice correspondant au castel médiéval,
et, à partir de la Renaissance, parlent de « palais » pour désigner toute grande construction de style postérieur au XVIe siècle.

En France, cette identification est sujette à controverse. Nous nous sommes donc efforcés de sélectionner des demeures portant l’appellation de château à juste titre.
En effet, une dizaine d’entre eux mériterait le titre de logis, manoir ou hôtel particulier, mais leur passé, la qualité de leurs prestations, l’accueil, les intérieurs et leur authenticité ont prévalu à nos yeux sur le souci de voir se déployer une architecture majestueuse et de beaux volumes.

Le « château » en France ne connaît qu’une seule définition : une demeure féodale fortifiée en bois, apparue au Xe siècle dans toute l’Europe, par nécessité de défense dans une époque de troubles et d’insécurité. C’était alors le seul moyen de protéger terres et habitants dans un pays où l’autorité royale avait décliné, dans un royaume morcelé en plusieurs régions autonomes, elles-mêmes subdivisées en seigneuries parfois indépendantes et rivales.

Au Moyen Âge, le château a trois fonctions : défensive, symbolique et lieu de résidence. Il centralise le pouvoir local, on y rend la justice, on y protège les villageois en échange d’impôts. Il est plus connu sous l’appellation de château fort.
À la fin des guerres de Religion et à la Renaissance, soit à la fin du XVIe siècle, le château perd sa fonction originelle strictement militaire.
Le pays est réunifié, les grandes invasions ou conflits cessent. C’est une habitation royale ou seigneuriale qui change radicalement d’aspect donc de style architectural.
Murs d’enceintes, douves, pont-levis, donjon et châtelets n’ont plus raison d’être, trop austères et jugés archaïques. Mais c’est la « remise au goût du jour », à la mode Henri IV ou Louis XIII, qui va considérablement modifier les châteaux primitifs. Tout ceci explique soit leur démolition pure et simple, soit la juxtaposition de plusieurs périodes d’architectures dans les châteaux français. 

Les meurtrières s’étaient déjà transformées à la Renaissance en larges fenêtres à meneaux pour plus de luminosité et d’élégance et plafonds et cheminées avaient été travaillés ; aux XVIIe et XVIIIe siècles, les canons de l’architecture classique vont incarner la richesse et la puissance des nobles et aristocrates qui les habitent.
Les larges et hautes ouvertures en vis-à-vis sont de rigueur, de même que les boiseries, beaux parquets, dallages et plafonds moulurés en stuc pour cacher les poutres rustiques,
jadis apparentes. Inhérente aux siècles des Lumières, une réflexion sur l’habitation pensée en harmonie avec les jardins ou parcs s’instaure : le raffinement des riches intérieurs lumineux, comme la symétrie de l’architecture extérieure et intérieure, célèbrent cette notion d’équilibre réussi. Ainsi, le château devient par extension une belle et grande demeure matérialisant le statut social élevé de son propriétaire.

Le château par définition « médiéval » est un spécimen rare, il a eu la vie dure pour résister aux conflits les plus destructeurs : guerre de Cent Ans, guerres de Religion, démantèlement par le cardinal de Richelieu, Révolution et Terreur, Seconde Guerre mondiale (bien des châteaux servaient de Q.G. aux troupes allemandes). Loin de cette définition restrictive, savourons ces édifices, témoins des splendeurs et fastes des siècles passés, qui sont parvenus jusqu’à nous et nous ouvrent leurs grilles et portes…


Chambres d’hôtes au Château
Parus chez Hachette
Co-auteur avec Marc Moreau, historien

 

GUIDES DES CHAMBRES D’HÔTES

Marie-Dominique PERRIN a parcouru le monde pendant plus de 25 ans pour la chronique “partir” de Télématin sur France 2.
Mais son pays de prédilectionc’est la France. Et sa passion dénicher les plus jolies maisons d’hôtes et les petits hôtels de charme.
Pionnière en la matière, elle a collaboré à de nombreux titres de presse écrite. 

J’ai photographié plus de 200 maisons pour illustrer ses guides.

Série de guides touristiques
Parus chez Hachette.

REVUE PERSPECTIVES

L’Association d’Amitié Franco-Vietnamienne (AAFV) a été créée en 1961, par un tout petit groupe de personnes dont Charles Fourniau.
Sa fonction est de faire connaître le Vietnam pour le faire aimer. 58 ans plus tard, elle est toujours là.

J’ai été heureux de collaborer à cette revue pendant quelques années avec Dominique de Miscault.
J’ai crée une nouvelle maquette et dynamisé la mise en page qui en avait bien besoin…

UN LIVRE DES MOINES BOUDDHISTES

À côté d’une religion du salut personnel par l’échange entre dévotion et compassion, la civilisation bouddhiste offrait déjà une sagesse intuitive
libératrice des enchaînements de l’existence et de ses grandes angoisses.
Les auteurs ont tenté de réaliser le rêve de Quách Thanh Tâm décédée en 2003, de faire mieux connaître
la profondeur et la modernité de cette sagesse, quand la nation Việt venait de se libérer de l’administration chinoise.
Cinquante six stances ou extraits de dialogues datant du Xe au XIIe siècle extraits d’un ouvrage du XIVe siècle
sont présentés dans leurs textes originaux en chinois, avec une traduction en français ; et aussi en vietnamien
par autorisation de l’Institut de Littérature à Hà Nội. Ces textes sont accompagnés de compositions graphiques
dans le même esprit, appelant une intuition au delà de la compréhension ordinaire.
Des notices explicatives et biographiques ne sont données qu’à la fin, parce que les textes peuvent être appréciés
aussi indépendamment de l’environnement historique.

Philippe Langlet, agrégé d’Histoire et docteur d’État en Études Orientales de l’université Paris 7 Denis Diderot
s’applique depuis longtemps à l’étude de la civilisation vietnamienne.
Dominique de Miscault, artiste plasticienne a été invitée à exposer au Việt Nam plusieurs fois.

ALEKSANDER PAVLOVICH LOBANOV

Aleksander Pavlovitch LOBANOV, est une magistrale « page » d’Art brut qui nous vient de Russie.
Ses proches racontent qu’Aleksander est devenu sourd et muet vers l’âge de six ans à la suite d’une méningite.
Né en 1924 à Mologa, petite ville sur la Volga qui sera ensevelie par la mise en eau du lac de Rybinsk
au début des années 1940. Avec sa famille en 1937, ils se réfugient à Iaroslavl, capitale de la province.
Aleksander entrera à l’hôpital psychiatrique en 1947. Il sera ensuite transféré à l’hôpital
d’Afonino, dans la vaste plaine russe, où il y passera le reste de ses jours jusqu’en 2003.
Son oeuvre étonnante, amorcée au début des années 1960 est une vision en abîme voire une parodie de l’URSS,
peu volumineuse, aux confins de l’art populaire et de la dérive psychotique est magnifiquement construite,
attachante par sa couleur et son harmonie.
Le charme qui s’en dégage révèle le jaillissement remarquable de la création.

 

Sous la direction de Dominique de Miscault
240 pages
Format 22×28 cm

LETTRE DE SAISON

Des six coins du monde (cinq continents et l’Atlantide),
10 épistoliers (ou groupes d’épistoliers), adultes en pleine possession de leur enfance
(peintres, écrivains, animateurs d’ateliers, soignants, patients, simples humains), échangent,
en toute libre-expression et mixité, sur leur quotidien saisonnier, depuis ces continents, qu’ils habitent ou qu’ils traversent.
Ce voyage imaginaire, en forme d’atelier d’art postal (mail art), précédé de rêveries théoriques
(histoire, saisons, calendriers, continents, correspondance, psychiatrie, psychanalyse…), témoigne, entre intime et culture,
de mots en images et de lettres en enveloppes, de ces rencontres et de leurs paysages psychiques
ou physiques (terres, villes, mers…) déployés sous de multiples ciels.

Sous la direction de Claude Sternis

 

PALIMPSESTE

Pour tout l’or de l’orme
Pour le lien du lin
Le bronze de la corne
La chair et le grain

Le marbre a la forme
Du corps sous les mains
Épuré et morne
Somptueux et lointain

Pour tout l’or de l’orme
La peau du chagrin
Sous le drap l’informe
Et rien pour les mains

Édition d’Art numérotée
Format 30×40 cm sur Centaure ivoire
Poèmes de Claude Sternis
Gravures de Yannick Dublineau
Gravure originale en 1ere de couverture

CORPS ET GRAPHISMES

Jean Broustra raconte une expérience de 25 ans dans des ateliers thérapeutiques au centre hospitalier de Libourne et dans des dispositifs de formation en France et en Europe.
Il décrit de nombreuses situations référées à de photos et à des séquences filmées en 1995.
La théorie du « Polytope interlangagier » propose une perspective aux dispositifs
« Corps et Graphismes » dans le cadre plus général des pratiques d’ateliers d’expression.
Jean Broustra est psychiatre, psychanalyste, écrivain et président d’Asphodèle, Ateliers du pré.

164 pages
Format 22×24 cm
Préface de Claude Sternis

FIGURES DE STYLE

« Ces nymphes, je les veux perpétuer. » Ainsi s’exprime le Faune de Mallarmé,
dans un poème célèbre mis en musique avec sensualité par Debussy.
J’avais en tête ces correspondances artistiques pendant que je scrutais avec un intense plaisir les photos que Jean-Jacques Morize avait réalisées,
habité qu’il était par la grâce des jeunes filles que son talent exaltait. Il s’agissait pour moi de transposer en mots, sans l’affaiblir dans un réalisme trivial,
le charme enchanteur que ces images sécrètent.

Je me suis souvenu que la littérature peut, et même doit être un passeport de beauté et qu’elle possède les ressources
de ce processus magique : cela s’appelle la rhétorique, ou, mieux, les fleurs du discours, qu’on désigne aussi sous le vocable de figures. 

Qu’est-ce qu’une figure ? Une personne – premier sens. Un ornement du langage – deuxième sens.
Perpétuer ces nymphes, c’est leur rendre un double hommage : les saisir dans l’éclat de lumière de l’appareil photographique,
les nommer d’une formule stylistique qui les ancre dans les harmonies de notre mémoire. Les voilà animées par notre désir, qu’elles perpétuent – admirable échange.

L’ambition de ce livre est de toucher ce qui, en nous, aspire, selon la belle expression de Pascal Bruckner, à une « brève éternité » de la chair.

112 pages
Format 22×27 cm
Serge Koster
Jean-Jacques Morize

WUXI

Ouvrage pour la ville de Wuxi en Chine
Édité pour l’exposition universelle de Shanghai
Format 26×26 cm
Collectif de 10 photographes venus des cinq continents
Les images de paysages et d’architectures m’ont été confiées.

164 pages
Format 24×24 cm